​Avec ce tome 4 j’ai envie compris le rythme de la série qui alterne enquêtes et tranches de vie, tant du côté des bourreaux que du côté des victimes. Mais je n’ai pas encore compris l’allégorie du Rubik’s Cube qui accompagne partout Tatsuki le personnage principal. Chacun d’entre eux peut représenter une victime qu’il n’a pas pu sauver, et chaque facette un aspect de sa personnalité… Cela serait en résolvant le puzzle de sa psyché qui pourrait enfin se sauver avant de sauver les autres ?

Nous sommes toujours en parallèle de la série mère :
– Hirokawa élu à la mairie peut plus que jamais faciliter la vie de ses alliés
– les humains qui en apprennent de plus en sur eux peuvent passer à l’offensive
– Reiko Tamura a quitté les siens pour réaliser ses expériences sur sa progéniture humaine

– Tu me ressembles. Tu as le regard de quelqu’un qui contient tout en lui, en permanence !

Tatsuki pourrait mettre fin au game en révélant tout à la police, mais pour cela il faudrait dénoncer son propre père et renier ses propres convictions…

La série d’origine comprenait une forte dimension métaphysique directe ou allégorique. Ici le dénommé Ebisawa est persuadé que les parasites ont été envoyé par Dieu pour éliminer l’humanité, et il considère comme un ange la créature qui a parasité sa main gauche qu’il a nommée Sredni Vashtar. Pour lui Tatsuki est un partenaire et il veut le convaincre de rallier sa cause, à moins qu’il ne veuille juste s’amuser avec lui parce que l’humain comme la créature sont des junkies… To Be Continued…

note : 7+/10

Alfaric