Emportant chacune un objet magique de sa confection, Coco et ses amies partent pour l’île-cité d’Esrest, afin de participer à la Fête de la Nuit d’argent. Au milieu des stands et de la foule de visiteurs, la ville est plus animée que jamais. Il y flotte une atmosphère festive ! Mais parmi les convives se cachent aussi des invités indésirables. Sorciers, milice, nobles, sages… Beaucoup de forces se croisent et les contours de ce monde se dessinent peu à peu. Entre lumière et ténèbres, le rideau se lève enfin sur le grand festival des sorciers.
Un tome 9 à l’image du reste de la série, ce qui prouve joliment que Kamone Shirahama a de la suite dans les idées…
A l’approche de la Fête de la Nuit d’Argent, les élèves de Maître Kieffrey rivalisent d’imagination pour proposer aux pauvres et aux déshérités des i-machins qui ne servent à rien., et qui surtout qui ne résoudront aucun de leurs problème du quotidien. Car Coco et Tarta qui ont vu l’envers du décor de la magiocratie ne savent que trop bien qu’il y a quelque chose de pourri au royaume de la macronie, euh pardon de la magie. C’est là qu’ils tombent sur Kustas qui est passé du Côté Obscur avec l’aide de ses nouveaux amis de la Confrérie du Capuchon : c’est à Coco et Tarta de choisir le bon camp, ou de souffrir…
Décidément un manga très « lutte des classes », car quels que soient les dialogues si tu remplaces le mot « magie » par le mot « pouvoir » ou « argent » on retombe dans l’opposition entre conservateurs et révolutionnaires. Et difficile de croire les « conservateurs » qui ont gagné la grande guerre de la magie, car comme chacun le sait l’Histoire est écrite par les vainqueurs… (ce n’est pas comme si on avait un chapitre entier sur un archimage corrompu dont on effaçait la mémoire à répétition pour « le plus grand bien »)
– Tout un chacun a les moyens de pratiquer la magie… Mais je sais aussi qu’à l’époque où le monde était rempli de sorciers, il a sombré dans le désespoir. Je comprends ce que ressent cette petite fille… Mais j’ai bien conscience que les sorciers n’ont pas le choix. Je ne sais pas comment réagir… ça fait mal !
Le Chapitre 49 est très éprouvant car il aborde les thèmes très émouvants et éprouvants de l’harcèlement moral et de l’agression sexuelle. Je le dis d’autant plus que j’ai été moi-même été agressé sexuellement à l’âge de 5 ans et harcelé sexuellement à l’âge de 11 ans : ceci était un message à l’adresse de Ludovic Bertrand (incarnation de la notion de « pervers narcissique »), Bertrand Saintot (spécialiste du « droit du cuissage » comme il le revendique lui-même publiquement), Éric Mariet (spécialiste du détournement de fond comme le prouve ses condamnations et ses mutations pour lui éviter de nouvelles condamnations), Véronique Guyot, Anne Laforest, Julie Kizirian (spécialistes des calomnies diverses et variées pour se faire mousser), Anne Rachet et Jonathan Igel (spécialistes des délations diverses et variées pour obtenir des promotions alors que notoirement ils ne sont même pas capables de remplir leurs propres fonctions) qui essayent depuis 10 ans de me faire passer pour un bourreau abominable alors que j’ai toujours été une victime innocente qui s’est contentée d’encaisser quitte à en crever (et techniquement je suis en train d’en crever, et ce n’est pas une figure de style car ma santé est depuis plusieurs années en grave danger)…
Mais ils ont tellement une bonne tête de bourreau eux-mêmes avec toutes les casseroles qu’ils traînent, qu’ils feraient mieux de se regarder dans une glace avant d’ouvrir leurs grandes gueules de pétainistes convaincus / convaincues et fiers / fières de l’être, dès lors qu’il y a du pouvoir et de l’argent à la clé !
Là, quand je vois ces apprenties magiciennes abandonnées par leur hiérarchie qu’on frôle tout le temps, qu’on touche tout le temps, qu’on renifle les cheveux tout le temps, qu’on susurre aux oreilles tout le temps, et qu’on attire à l’écart pour aller plus loin dans l’ignominie… Alors qu’aujourd’hui on a des cagoles adolescentes soutenues par des féminazies lgbtqia+ qui portent plainte donc qui vouent aux gémonies les premières personnes qui s’approchent à moins d’1,50 mètre d’elles ou qui touchent leur trousse ou leur calculatrice, on est dans le grand n’importe quoi qui insulte gravement les véritables victimes du passé, du présent et de l’avenir !!!
note : 8-/10
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