Dans ce tome 12 Elijah est de nouveau victime de tentatives d’assassinat et ne s’en sort que grâce à Retia. Cela l’oblige à investiguer et à faire le ménage parmi ses contacts au sein de la pègre australienne. Pendant ce temps les témoins de Miriam Arona meurent les uns après les autres, et ses collègues au Pérou sont assassinés les uns après les autres.

Car l’un comme l’autre ont découvert le pot aux roses : le Propater se sert de nanotechnologies non autorisées et non maîtrisées pour éliminer ses opposants en interne (#URSS) et en externe (#USA), surtout quand il s’agit de l’extension du Propater à toute la planète…

Les gens ont besoin de croire en Dieu parce que ce monde est cruel, absurde et impitoyable.

Après l’auteur se fait plaisir avec des nano-machins, des quanto-machins, la téléportation humaine et des mini trous de vers. Mais pourquoi Mâyâ sauve-t-il l’équipe de recherche de Kate Mishima ? Mais pourquoi Mâyâ ne fait contre les bombes nucléaires envoyées par les fondamentalistes chrétiens contre les différents colloïdes du monde ?

La fin du tome passe des tranches de vie de Mana et Mâyâ à un véritable droit de quota de flashback où est retracée sa relation plein d’amour et de jalousie avec sa grande sœur Gina. Au final Mana est persuadé d’être la cause de la destruction de sa famille, mais les choses sont plus compliquées que cela…

PS: on se passerait bien des scène cartoonesques coquines qui nuisent au réalisme de la série

note : 7/10

Alfaric