Même en se rationnant, les troupes du général Ousen qui se battent dans les Plaines de Shukai n’ont plus grand-chose à se mettre sous la dent. Elles sont donc en situation très défavorables par rapport à celle du général Riboku…

Au 10e jour les combats font rage, et Gyôun et ses meilleurs guerriers quittent leurs positions, contournent l’armée de Gakuei qui couvre leurs manœuvres pour aller s’attaquer directement à la Gyoku Hou aux prises avec l’armée de Chôgaryû. Après Shin, c’est donc Ouhon qui fait face à l’immense puissance guerrière du général de Zhao. Et malgré toute sa vaillance et toutes ses techniques, il faut le sacrifice de plusieurs de ses compagnons d’armes et les renforts miraculeux de Shin et de l’Unité Hi Shin pour échapper à la mort…

Le morale est une chose fragile. On peut le perdre à tout instant.

Du coup, le 11e jour c’est Shin qui récupère le commandement de toute l’aile droite de Qin, mais on lui donne de plus grande responsabilités encore le mettant au centre face aux troupes ennemies du général Chôgaryû.
Ce qui est extrêmement bien fait, c’est que les hommes de Shin sont épuisés et que seule leur foi en leur com-mandant les fait tenir encore debout. Donc d’un côté on voit comme d’habitude Shin chargé bille en tête, et d’un autre côté on voit les officiers et les trouffions qui doivent choisir qui sauver et qui abandonner pour le suivre vers la gloire. Karyo Ten les a bien briefés : tout le monde ne sortira pas vivant de l’affrontement, et il va falloir limiter les pertes qui s’annonce importantes…

Ce que personne ne sait encore, c’est que les hommes infiltrés de Kanki dans la cité-forteresse de Gyou sont passés à l’action et ont incendié les greniers de la ville. Cela rééquilibre totalement le facteur temps, voire met en difficulté Riboku qui doit vaincre au plus vite : To Be Continued, Oh Yeah !!!

note : 9-/10

Alfaric