​L’humanité qui servait de garde-manger aux parasites commence à se rebiffer. Et tandis que les parasites se rassemblent sous l’égide du nouveau maire pour fonder une colonie, les humains se rapprochent de plus en plus de leur nid et des moyens de l’éradiquer…

L’énigmatique Tatsuki se livre enfin en exprimant sa colère et sa frustration : ils partagent les convictions de son père mais pas ses méthodes, il veut le stopper mais il ne peut pas le dénoncer. De la même manière, il veut stopper Ebisawa ancien chirurgien bi-classé fanatiques religieux et serial killer qui commence à recruter sa propre secte. Mais il ne peut pas l’arrêter ou l’éliminer, ou tout du moins pas tout seul car il s’en est pris gratuitement à ses camarades de classes qui n’avaient rien demandé à personne.

Y a que dans des stupides romans de SF qu’un monstre devient un notable.

Les alliés de l’un (« Batman ») et les alliés de l’autre (« Le Joker ») peuvent faire pencher la balance d’un côté comme de l’autre. Mais les autorités comme les parasites comportent plusieurs factions aux intérêts différents voire divergents qui peuvent semer la zizanie dans le projet de vengeance de Tatsuki et de l’inspecteur Fukami…

Les incursions de la série mère dans la série dérivée sont de plus en plus nombreuses : je me demande comment tout cela va finir avec ce double maléfique de Shin’ichi que combat Tatsuki physiquement, mentalement et idéologiquement…

note : 7+/10

Alfaric