Dans ce tome 5 on passe pas mal de temps dans la Cité-Machine de la Nation Infinie. L’arrivée des observateurs de la République Populaire correspond à l’arrivée des nouveaux boucs émissaires de l’Union. Mais le destin des uns et des autres se télescopent dans un droit de quota de flashbacks LGBT.
Bodaway et Narsimha se disputent au sujet de la ligne de conduite à tenir, et le frère de Cheveyo (donc l’oncle de Sotuknang alias Le Loup) se rend Heetse’isi’ pour demander conseils aux esprits.
Le gros morceau de ce tome, c’est quand même la tentative d’assassinat sur Dame Mao qui tourne au fiasco. Ce qui oblige le commanditaire à nettoyer tout le monde des deux côtés de l’Océan Pacifique pour qu’on ne remonte jamais jusqu’à lui.
Un seul mensonge de travers, et la toile des illusions s’effondre.
L’autre gros morceau du tome c’est Erza Orion qui rédige de nouveaux apocryphes sur des parchemin en peaux humaines arrachées à ses fidèles pour convoquer une nouvelle fois les Illuminatis et les obliger à déclencher son Apocalypse (parce que sinon toute sa vie de fanatique religieux n’aurait servi à rien du tout). Pour lui il n’est plus le porteur de la Parole Divine, mais la Parole Divine Elle-Même… Je sais bien que tout cela c’est pour se foutre de la gueule des christianistes américains, mais en tant qu’athée tout ce bordel de grenouille de bénitier truffé de références bibliques, d’élus, de prophéties et de destinée manifeste me saoule ô combien !
Bon, elle démarre quand cette guerre totale qu’on annonce depuis la 1ère page du 1er épisode ?
note : 7+/10
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